Investissement locatif sans apport

Le 8 juillet 2022 , mis à jour le 8 juillet 2022 - 6 minutes de lecture

Pour réussir un investissement locatif sans apport, il faut d’abord trouver le bien immobilier qui correspond à votre projet. Ensuite, il faut faire une bonne estimation de la rentabilité de l’investissement. Pour cela, vous pouvez utiliser des simulateurs en ligne ou des logiciels spécialisés. Enfin, vous devez choisir le meilleur financement pour votre projet.

Avantages et inconvénients de l’investissement locatif sans apport

L’investissement locatif sans apport permet de placer son épargne dans la pierre. Cela permet de se constituer un patrimoine, de préparer sa retraite et de réduire ses impôts.

Le dispositif Pinel permet d’obtenir une réduction d’impôt en contrepartie d’un engagement locatif sur 6 ans, 9 ans ou 12 ans.

L’investissement locatif est une solution avantageuse pour les contribuables souhaitant réduire le montant de leurs impôts, mais il faut savoir que l’investissement locatif sans apport n’est pas la seule option pour les personnes souhaitant investir.

Quels types d’investissement locatif sans apport sont possibles ?

L’investissement locatif est un placement qui permet de se constituer un patrimoine immobilier, et de percevoir des revenus complémentaires.

Le principe est simple : vous achetez un bien immobilier, et vous le louez à un tiers. En contrepartie, vous percevez des loyers, qui viennent s’ajouter à vos revenus.

Il existe plusieurs types d’investissement locatif sans apport : investir en location meublée (LMNP), en location nue (LNMP) ou en location saisonnière. Ces trois types d’investissement locatif sont possibles, mais ils ont chacun leurs spécificités.

La location meublée nécessite de gérer son bien en direct, elle est donc plus contraignante qu’une location nue ou qu’une location saisonnière. Pour une location meublée, il faut généralement prévoir un budget de 100 à 300 euros par mois pour les charges. Dans le cas d’une location nue, les charges sont plus faibles car elles ne comprennent pas les frais liés au mobilier et aux équipements.

Les locations saisonnières quant à elles ne sont pas soumises aux mêmes règles que la location nue et la location meublée. Elles peuvent être très rentables si la destination du bien est touristique (par exemple : chambres d’hôtes) ou si vous souhaitez proposer une location de vacances sur votre propriété.

Les risques de l’investissement locatif sans apport

La location de biens immobiliers est le moyen le plus sûr d’avoir un complément de revenus et de se constituer un patrimoine. Seulement, elle n’est pas réservée à tout le monde. En effet, pour pouvoir louer un bien immobilier, il faut disposer d’un capital suffisant pour couvrir les frais qui y sont liés.

Il est également possible de bénéficier d’un prêt immobilier sans apport, mais cela reste une solution très rare. Pour pouvoir bénéficier d’un prêt immobilier sans apport, il faut être en CDI et avoir un salaire élevé (au moins 2 fois le loyer).

Lorsque l’on parle de salaire élevé, on entend par là qu’il faut avoir un revenu supérieur à 3 fois le montant du loyer.

Comment réussir son investissement locatif sans apport ?

Il est possible d’investir dans un logement locatif sans avoir besoin d’apport.

Il faut cependant bien choisir le type d’investissement, le dispositif fiscal et le type de locataire.

L’idéal est de se tourner vers un dispositif fiscal qui vous permet de déduire des revenus locatifs : le régime micro-foncier (régime simplifié pour les loyers inférieurs à 15 000 euros/an) ou le régime réel (pour les loyers supérieurs à 15 000 euros/an). Pour bénéficier du régime micro-foncier, il faut que les revenus locatifs n’excèdent pas 15 000 euros par an. Si ce n’est pas le cas, il faut alors opter pour le régime réel. Dans ce cas, la déduction des charges et des intérêts d’emprunt est possible.

Le dispositif Pinel permet aux investisseurs de bénéficier d’une réduction d’impôt s’ils mettent en location un logement neuf pendant une durée minimale de 6 ans. Cette réduction est égale à 12 % du prix du logement si la location s’étale sur 6 ans, 18 % si la location s’étale sur 9 ans et 21 % si la location s’étale sur 12 ans.

Les pièges à éviter lorsque l’on investit sans apport en immobilier

La location meublée non professionnelle (LMNP) est un dispositif fiscal permettant aux propriétaires-bailleurs de déduire de leur revenu global les charges liées à l’acquisition d’un logement neuf ou en l’état futur d’achèvement (VEFA).

Le statut LMNP est également accessible aux propriétaires qui louent un bien acquis via une SCI.

L’investissement locatif sans apport est possible, mais il nécessite plusieurs précautions : – La location meublée non professionnelle (LMNP) est un dispositif fiscal permettant aux propriétaires-bailleurs de déduire de leur revenu global les charges liées à l’acquisition d’un logement neuf ou en l’état futur d’achèvement (VEFA).

Le statut LMNP est également accessible aux propriétaires qui louent un bien acquis via une SCI.

L’investissement locatif sans apport est possible, mais il nécessite plusieurs précautions : – Dans le cadre du dispositif LMNP, les recettes locatives doivent être déclarées sous le régime micro-BIC.

Les loyers perçus ne doivent pas dépasser 23 000 euros par an. – La location meublée non professionnelle (LMNP) est un dispositif fiscal permettant aux propriétaires-bailleurs de déduire de leur revenu global les charges liées à l’acquisition d’un logement neuf ou en l’état futur d’achèvement (VEFA).

Le statut LMNP est également accessible aux propriétaires qui louent un bien acquis via une SCI.

L’investissement locatif sans apport est possible, mais il nécessite plusieurs précautions : – Dans le cadre du dispositif LMNP, les recettes locatives doivent ê

Les avantages fiscaux de l’investissement locatif sans apport

Les investissements locatifs sont souvent réalisés dans l’optique de percevoir des revenus complémentaires. Pour ce faire, il est intéressant de bénéficier d’avantages fiscaux. C’est le cas pour l’investissement locatif sans apport.

En conclusion, il faut savoir que les banques prêtent de l’argent aux personnes qui ont un gros apport. Ainsi, toutes celles qui ne possèdent pas d’apport peuvent faire une demande de financement auprès d’une banque. Cependant, ces mêmes banques cherchent à limiter le risque qu’elles prennent en accordant des crédits aux personnes qui ont un petit apport et donc une faible capacité de remboursement.